Selon Gilles William Goldnadel : « Ce manuel est interdit à la vente pour tous ceux qui n'ont pas encore compris que le fascisme était aujourd'hui situé à l'extrême gauche de l'échiquier politique et intellectuel. ».
Il écrit « fascisme », car il démontre que « malheureusement, à force de matraquage par l'extrême gauche en majesté médiatique, ce mot, historiquement précisément marqué, a été dénaturé, dévalué, galvaudé. Mais j'ai écrit fascisme d'extrême-gauche, pour me faire comprendre immédiatement et émotionnellement, par souci premier d'efficacité. » C'est tout le sens et la finalité de ce manuel. Celui qui l'a écrit s'inscrit dans le combat culturel.
Il sait la gauche habile à l'extrême dans ce combat où gagner la bataille de l'émotion est essentiel.
La bataille des idées, la gauche sait qu'elle l'a peut-être perdue depuis quelque temps.
Elle n'ose plus nier comme elle le faisait effrontément la laideur ou les dangers cruels de l'islamisme. Raison pourquoi elle ne se bat plus que sur le terrain de l'émotion où elle peut encore l'emporter en quelques instants, par la grâce disgracieuse de ses mé
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