"A cinquante ans, chacun a le visage qu’il mérite",
écrivait George Orwell. Soixante-dix ans après sa mort, le sien est
devenu une icône. La Ferme des animaux (1945) est un classique qui
décrypte le totalitarisme et sa mécanique, 1984 est un best-seller
planétaire qui éclaire aussi bien la surveillance numérique mondialisée
que l’ère de la « post-vérité ».
La
novlangue ou Big Brother ont pénétré le langage courant ; les notions
de « décence ordinaire » et de « double pensée » ont gagné le monde des
idées. Si le XIXe siècle fut balzacien, le XXe kafkaïen, le XXIe siècle..........................est devenu orwellien...
À la Ferme du Manoir, les animaux en ont assez d’être maltraités. Major
l’ancien, leur doyen, leur a ouvert les yeux sur la tyrannie de l’Homme.
Il faut faire la révolution ! Une fois le fermier banni, les animaux
décident de ne plus se laisser commander.
Pour veiller à cela, sept règles sont édictées et rédigées par les cochons. La dernière est claire : Tous les animaux sont égaux. Mais le temps passe, et les commandements changent, un par un. Jusqu’à ce qu’on puisse lire : Tous les animaux sont égaux, mais certains le sont plus que d’autres.
Pour veiller à cela, sept règles sont édictées et rédigées par les cochons. La dernière est claire : Tous les animaux sont égaux. Mais le temps passe, et les commandements changent, un par un. Jusqu’à ce qu’on puisse lire : Tous les animaux sont égaux, mais certains le sont plus que d’autres.
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