La philosophie de Fichte est une philosophie du moi. Est-ce à dire qu'il faut y voir une philosophie de la subjectivité finie achevant en système l'idéalisme kantien ? Ou bien faut-il s'inquiéter de ce que le moi y soit aussi dit "absolu"' et chercher chez Fichte les prémices des philosophies schellingienne et hégélienne de l'absolu ?
Le but de ce volume est de convaincre que la philosophie de Fichte est plutôt une pensée originale de la constitution duale, contradictoire du moi humain en lequel sont à la fois opposés et réunis finitude et absoluité. Le medium de cette synthèse vivante du fini et de l'absolu dans le moi humain c'est la liberté comme libre choix d'elle-même. De sorte que confondant volonté d'être soi et volonté d'être libre la philosophie de Fichte est comme philosophie du moi, philosophie de la liberté.
Le XIXème siècle à travers les âges 5/5 : Fichte et la nation allemande
Avec Jean-Christophe Goddard. Le Journal des Nouveaux Chemins avec Nathalie Chouchan, à propos du numéro 125 des Cahiers philosophiques - Etre patient, être malade (Sceren - CNDP-CRDP Poitiers).
Réalisation : Mydia Portis Guérin
Lecture des textes : Anne Brissier
Extraits :
-
Ouverture du Crépuscule des dieux , Wagner
-
Symphonie n°4 , Sibelius
-
L'Or du Rhin , Wagner
-
Ouverture '1812' , Tchaikovski
-
Les deux oncles , Brassens
-
L'Enfance du Christ, Berlioz
-
All you need is love , Beatles
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire