En 1868, le peintre Édouard Manet fait le portrait d’Émile Zola, un jeune écrivain qui a pris sa défense dans le tumulte de l’affaire Olympia. La toile lui avait offert une occasion déguisée de mettre en avant ses propres goûts… notamment sa passion pour l’art japonais !
Touche ibérique
Tout comme les objets d’art et autres antiquités, le mobilier joue un rôle important dans la mise en scène de soi, aussi bien chez les bourgeois que chez les écrivains et les peintres reconnus. Pour représenter la tapisserie du fauteuil, Manet s’inspire de la touche et des tons ocre de Goya et Vélasquez, ses peintres espagnols favoris.
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